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author | David A. Madore <david+git@madore.org> | 2013-03-06 20:40:05 +0100 |
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committer | David A. Madore <david+git@madore.org> | 2013-03-06 20:40:05 +0100 |
commit | 12c884bc91c8ea7f98df1436ebebcb29e2dafc53 (patch) | |
tree | d9e9e0d4774905baac50330d4bd489dd48359afc /chapitres/formes-tordues.tex | |
parent | b123e52385ff80029565590b3a0b73acf2fa554e (diff) | |
download | galois-12c884bc91c8ea7f98df1436ebebcb29e2dafc53.tar.gz galois-12c884bc91c8ea7f98df1436ebebcb29e2dafc53.tar.bz2 galois-12c884bc91c8ea7f98df1436ebebcb29e2dafc53.zip |
Introduction de macros \mathtextrm, \mathtextsf et \mathtexttt
Le but est de résoudre le problème des accents qui n'apparaissaient
pas, par exemple, dans \mathrm{Dér} (parce qu'Unicode ne définit pas
les caractères accentués dans les alphabets mathématiques et,
concrètement, parce que le package unicode-math ne leur donne pas
des \mathcode appropriés, et ne fournit d'ailleurs pas de 'é'
sans-sérif ou autre truc du genre).
Ces macros servent donc à écrire du texte dans des formules
mathématiques, de façon un peu « intermédiaire » entre \mathrm et
\textrm : elles créent du vrai mode maths (donc qui change de taille
en exposant et indice, contrairement à \textrm) mais en allant
chercher dans une police orientée texte et _sans_ aller prendre dans
les alphabets « mathématiques » d'Unicode. Attention : à cause de
l'usage de \emitmathchars, le paramètre passé à ces macros ne doit
pas contenir de commande quelle qu'elle soit, uniquement des
caractères.
Diffstat (limited to 'chapitres/formes-tordues.tex')
-rw-r--r-- | chapitres/formes-tordues.tex | 8 |
1 files changed, 4 insertions, 4 deletions
diff --git a/chapitres/formes-tordues.tex b/chapitres/formes-tordues.tex index a0dc212..cb662ae 100644 --- a/chapitres/formes-tordues.tex +++ b/chapitres/formes-tordues.tex @@ -740,12 +740,12 @@ $K\bo k$ toute $k$-algèbre $A$ munie d'une action $k$-linéaire de $G$ telle que $A_K$ soit isomorphe à $K^G$. \end{définition2} -On note $\mathrm{Tors}(K\bo k,G)$ leur ensemble. On appelle +On note $\mathtextrm{Tors}(K\bo k,G)$ leur ensemble. On appelle $G$-torseur trivial (sous-entendu : sur $k$) le $G$-torseur $k^G$. \begin{exemple2}\label{extension galoisienne groupe G est un G-torseur} Toute extension $k′\bo k$ galoisienne de groupe $G$ -et trivialisé par $K\bo k$ est un objet de $\mathrm{Tors}(K\bo k,G)$. +et trivialisé par $K\bo k$ est un objet de $\mathtextrm{Tors}(K\bo k,G)$. Choisissons en effet un $k$-plongement $ι$ de $k′$ dans $K$, dont l'existence est conséquence du fait que $K\bo k$ diagonalise $k′\bo k$ (voir aussi \ref{description explicite Tors=H1}, (i)). @@ -768,7 +768,7 @@ De façon générale, on a : — $A\bo k$ est une $G$-algèbre galoisienne. \begin{proposition2}\label{H1G=TorsG} -L'ensemble des classes d'isomorphismes $\mathrm{Tors}(K\bo k,G)/∼$ +L'ensemble des classes d'isomorphismes $\mathtextrm{Tors}(K\bo k,G)/∼$ est naturellement en bijection avec l'ensemble $H¹(Π,G)$, quotient de l'ensemble $\Hom(Π,G)$ sous l'action de $G$ par conjugaison. Si $G$ est abélien, il est isomorphe à $\Hom(Π,G)$. @@ -1081,7 +1081,7 @@ extension finie galoisienne. Pour tout $k$-tenseur $(V,x)$ de type $(p,q)$, l'application \[ -\mathrm{Formes}\big((V,x),K\bo k)→H¹\big(\Gal(K\bo +\mathtextrm{Formes}\big((V,x),K\bo k)→H¹\big(\Gal(K\bo k),\Aut((V,x)_{\bo K})\big) \] est une bijection. |