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index 0cf4d2a..f60f754 100644
--- a/notes-inf105.tex
+++ b/notes-inf105.tex
@@ -4166,7 +4166,7 @@ ceux qui reconnaissent le langage rationnel $L$ : on l'appelle
(automate)|see{minimal}}\textbf{automate canonique} du langage $L$. La
démonstration ci-dessus en donne une construction à partir d'une
relation d'équivalence, mais cette démonstration n'est pas
-algorithmique : on va voir comment on peut le construire de fącon
+algorithmique : on va voir comment on peut le construire de façon
algorithmique à partir d'un DFA quelconque qui reconnaît $L$.
\begin{prop}\label{dfa-minimization}
@@ -5879,7 +5879,7 @@ cubique en la longueur de $w$.
cherche pas simplement à savoir si un mot appartient au langage
engendré par une grammaire, mais aussi à en construire un arbre
d'analyse ; par ailleurs, la complexité algorithmique des approches
-décrites en \ref{algebraic-languages-are-decidable} et meme
+décrites en \ref{algebraic-languages-are-decidable} et même
en \ref{handwaving-on-dynamical-programming} est inacceptable. En
contrepartie de ces exigences, on est prêt à accepter de mettre des
contraintes sur la grammaire qui la rendent plus facile à analyser :