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| diff --git a/transp-inf110-01-calc.tex b/transp-inf110-01-calc.tex index 82f2f47..7bc8ed5 100644 --- a/transp-inf110-01-calc.tex +++ b/transp-inf110-01-calc.tex @@ -413,7 +413,7 @@ $h(g_1(\underline{x}),\ldots,g_k(\underline{x}))\uparrow$.  \medskip  \itempoint Terminologie : une fonction $f\colon \mathbb{N} \to -\mathbb{N}$ est dite \textbf{totale}. +\mathbb{N}$ définie sur $\mathbb{N}$ est dite \textbf{totale}.  {\footnotesize Une fonction totale est un \alert{cas particulier} de    fonction partielle !\par} @@ -706,12 +706,12 @@ devrait être calculable.  Mais cette définition \alert{n'est pas une  \itempoint On peut montrer que : si $f \colon \mathbb{N}^k \to  \mathbb{N}$ est p.r., il existe $r$ tel que  \[ -f(x_1,\ldots,x_k) \leq A(2,\, (x_1+\cdots+x_k+2),\, r) +f(x_1,\ldots,x_k) \leq A(2,\, (x_1+\cdots+x_k+3),\, r)  \]  \medskip -\itempoint Notamment, $r \mapsto A(2, 2, r)$ \textbf{n'est pas p.r.} +\itempoint Notamment, $r \mapsto A(2, r, r)$ \textbf{n'est pas p.r.}  \medskip @@ -755,6 +755,8 @@ sens informatique).  \itempoint Il n'est \alert{pas du tout unique} : $f = \psi_{e_1}^{(k)}  = \psi_{e_2}^{(k)} = \cdots$ +{\footnotesize ($e$ = « intention » / $f$ = « extension »)} +  \bigskip  {\footnotesize @@ -1161,6 +1163,8 @@ sens informatique).  \itempoint Il n'est \alert{pas du tout unique} : $f = \varphi_{e_1}^{(k)}  = \varphi_{e_2}^{(k)} = \cdots$ +{\footnotesize ($e$ = « intention » / $f$ = « extension »)} +  \bigskip  {\footnotesize @@ -1285,7 +1289,7 @@ entiers naturels) qui « atteste » que $\varphi_e^{(k)}(\underline{x})    $f(\underline{x},z')=v$ et $h(\underline{x},v,z')=y$ lorsque    $z=z'+1$.  \item Pour $f = \mu g$, on a des fils attestant -  $g(0,\underline{x})=v_0,\ldots,g(y,\underline{x})=v_y$. +  $g(0,\underline{x})=v_0,\ldots,g(y,\underline{x})=v_y$ où $v_y=0$.  \end{itemize}  \medskip @@ -2087,7 +2091,7 @@ de la configuration initiale $C$, et $0$ sinon, \alert{n'est pas  \smallskip -$\Rightarrow$ On ne peut tester algorithmiquement si une machine de +$\Rightarrow$ On ne peut pas tester algorithmiquement si une machine de  Turing donnée, depuis une configuration initiale donnée, s'arrête « un  jour ». @@ -2120,9 +2124,9 @@ Donnée une machine de Turing $M$ et une configuration initiale $C$, on  peut alors algorithmiquement décider si $M$ s'arrête à partir de $C$ :  \begin{itemize}  \item fabriquer une machine $M^*$ qui réalise $C$ à partir de la -  configuration vierge $C_0$, puis fait ce que fait $M$ -  \textcolor{teal}{($\leftarrow$ théorème s-m-n ici)}, -  donc $M^*$ termine sur $C_0$ ssi $M$ termine sur $C$, +  configuration vierge $C_0$ \textcolor{teal}{($\leftarrow$ thm +    s-m-n ici)}, puis fait ce que fait $M$, donc $M^*$ termine sur +  $C_0$ ssi $M$ termine sur $C$,  \item calculer $f(m)$ où $m$ est le nombre d'états de $M^*$,  \item exécuter $M^*$ à partir de $C_0$ pendant $f(m)$ étapes (ce    nombre est $\geq B(m)$ par hypothèse), @@ -2159,7 +2163,7 @@ calculable :  {\footnotesize  \underline{Preuve :} soit $f\colon\mathbb{N}\to\mathbb{N}$ calculable. -Soit $\gamma(r) = A(2,2,r)$ (en fait, $2^r$ doit suffire ; noter +Soit $\gamma(r) = A(2,r,r)$ (en fait, $2^r$ doit suffire ; noter  $\gamma$ croissante).  On considère la machine de Turing $M_r$ qui  \begin{itemize}  \item calcule $\gamma(r+1)$ puis $f(0) + f(1) + \cdots + | 
